Macbeth

Macbeth – Projet travaillé avec Rudy Sabounghi

UNE SCENOGRAPHIE BASEE SUR LE VOILAGE : Faire ressentir la dimension fantastique voire cauchemardesque de la pièce, avec un langage simple et atemporel : les voilages permettent de jouer sur les apparitions/disparitions, des passages du dedans au dehors, de brouiller les limites entre intérieur/extérieur.

UNE SCENOGRAPHIE MOUVANTE : Un décor évanescent, en mouvement, qui se transforme au fur et à mesure : les voilages sont comme le destin instable que Macbeth n’arrive jamais totalement à embrasser, quelque chose de flottant, où on ne peux jamais voir clairement à travers, et qui regorge de surprises quand on le tire : jeux de transparences, translucidité, opacité.
UN ESPACE MENTAL ? : Macbeth est une réflexion sur le pouvoir, centré sur l’ambition, le crime et la culpabilité. Il y a quelque chose de l’ordre de l’introspection lors des monologues qui sont révélateur du moi profond des personnages : Espace de l’ordre du mental, centré sur un drame à échelle humaine.